Une tragédie mennonite – 1917-1939 (III)

Si le « bonheur mennonite » a bien existé en Russie impériale, il prend fin en 1917. Dans ce troisième épisode : des mennonites en plein chaos, des anarchistes sanguinaires, des Russes blancs et l’armée rouge transforment les colonies en « terres de sang ».

Une tragédie mennonite – 1917-1939 (II)

Il y a 100 ans, la famille impériale des Romanov était assassinée en Russie. Au même moment, une autre tragédie débutait : celle de la destruction des colonies mennonites d’Ukraine et de Russie. Qui étaient ces mennonites? Que faisaient-ils en Russie?

Une tragédie mennonite – 1917-1939 (Episode I)

Introduction

« Soviet Inferno »

Marseille, le 1er avril 1932. Un homme attend, sur le quai, l’arrivée du D’Artagnan, un navire des Messageries Maritimes en provenance de Shangaï. A son bord, 373 mennonites d’origine russe-allemande qui forment une soixantaine de familles, dénuées de tout.

Lettre de Martin Luther King aux Églises du 21e siècle

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Chers frères et sœurs en Christ,

J’ai longtemps espéré avoir le temps de vous visiter, mais les récents événements locaux me conduisent à repousser ce projet. C’est pourquoi cette lettre, en attendant de vous rencontrer à l’occasion de ma prochaine venue en Europe.

MLK : le rêve de la « Communauté bien-aimée »

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En cette année qui marque les 50 ans du décès de l’apôtre de la non-violence, voici un petit livre, de la plume de Jean-Claude Girondin, qui permet de comprendre le ressort de la pensée et de l’engagement du pasteur baptiste Martin Luther King, à savoir, son rêve d’une « Communauté bien-aimée ».

« C’est la non-violence qui doit être radicale »

Père Élisée, hiéromoine de l’Église grecque-catholique-melkite.ILS RÉHABILITENT LA RADICALITÉ (2/6). La radicalité, surtout religieuse, a mauvaise presse : elle est associée à la violence, à la dérive sectaire, voire à la maladie mentale…

« La Croix » a choisi de rencontrer des croyants radicaux, qui s’interrogent sur les exigences de leur foi et les limites qu’ils se fixent. Entretien avec le père Élisée, hiéromoine de l’Église grecque-catholique melkite.

Vous êtes prêtre et moine. La radicalité, est-ce un mot que vous aimez ?

Père Élisée : Dans son sens actuel, le mot est péjoratif. Mais on a perdu de vue son étymologie, qui vient de radice, la racine. Être « radical », c’est aussi être enraciné dans l’Évangile.